Depuis son passage à l’OM, on n’entend plus parler de Mario Balotelli. Que devient la star italienne, qui pensait pouvoir aller chercher des Ballons d’Or au début de sa carrière ?
L’enfant terrible du football italien a maintenant du mal à avancer. Mario Balotelli était connu comme l’un des grands espoirs du foot dans sa jeunesse et dans son début de carrière à l’Inter Milan notamment. Passé par Manchester City, l’AC Milan ou encore Liverpool, l’Italien a ensuite connu le succès en France, à Nice particulièrement. Après son passage éclair à Marseille en 2019, il a ensuite retrouvé son pays natal, disparaissant peu à peu de la lumière des projecteurs au fil des années.
Un joueur ingérable
Arrivé très jeune sur la scène internationale, Mario Balotelli faisait partie des grands espoirs dès ses débuts et tout le monde voyait en lui un talent capable un jour de jouer les premiers rôles dans la lutte pour le Ballon d’Or. Mais au cours de sa carrière, c’est un manque de professionnalisme évident qui ressort de ce personnage sulfureux. Réputé pour être ingérable partout où il passe, Balotelli a fini par épuiser tout le monde par son comportement qui ruine totalement la suite de sa carrière.
Balotelli 🚀🚀🚀 pic.twitter.com/fkdjRH0niA
— Louis (@RealityChelsea) October 16, 2022
Un joueur encore efficace
Si son dernier passage sous les projecteurs à l’OM en 2019 a été plutôt réussi puisqu’il a marqué huit buts en 15 matches, Mario Balotelli reste un joueur capable de s’imposer comme un grand buteur à moindre niveau. Après Marseille, l’Italien est revenu dans son pays natal pour jouer à Brescia et en Serie B, avant de rejoindre la Turquie. Depuis fin août, il fait partie de l’effectif du FC Sion et compte déjà quatre buts en cinq matches, malgré seulement trois titularisations. A 32 ans, Mario Balotelli semble se faire à sa nouvelle équipe sans problème, peut-être avant un nouveau dérapage… Quoi qu’il en soit, s’il voulait relancer sa carrière de la plus belle des manières, sa réputation a sans doute joué un rôle trop important.
